Ce petit chef-d'oeuvre, écrit quatre ans avant la mort du philosophe, pose le problème de la retraite intérieure, du loisir lettré, de l'arrêt de l'activité civique. L'auteur s'y justifie d'abandonner la politique au profit d'une contemplation de la nature ; il montre que contempler, c'est agir, et que participer aux affaires publiques n'est pas une obligation absolue. La contemplation est pour l'homme une façon de se grandir.
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