La 4e de couv. indique : "Il revient à Lauric Guillaud, dans ce livre, de mettre en évidence le terreau obscur, mais fécond où ont germiné les racines, longtemps invisibles, de la franc-maçonnerie. Une mise à nu où se dessine une nouvelle sociabilité, non plus celle bien connue des sociétés savantes et des salons philosophiques, mais celles des cercles libertins, dans le sens du XVIIe siècle, c'est-à-dire d'une liberté de pensée totale et absolue... Et que dire de la littérature gothique..., on prend conscience aujourd'hui combien elle répondait à une sourde interrogation des esprits que la lumière de la Raison ne parvenait pas à satisfaire... La franc-maçonnerie comme le roman noir furent deux réponses à cette inquiétude. Deux réponses qui semblent désormais beaucoup plus proches que prévu. Et là aussi, Lauric Guillaud dévoile les passerelles, demeurées longtemps invisibles, entre ces deux mondes et démontre l'influence manifeste de la littérature gothique dans la dramaturgie de nombre de rituels maçonniques dont certains d'ailleurs dépassent en macabre les plus noirs des romans de cette époque."
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